Le député Sosthène Nguema Nguema, a, dans une communication tenu le 20 octobre 2024 au quartier cocotier dans le 2e arrondissement de Libreville, aux cotés de Jean Christophe Owono Nguema et Marc Ona Essangui, respectivement Délégué spécial de la commune d’Oyem et 3e vice-président du Senat de la Transition, appelé le peuple gabonais à voter « oui » au référendum 2024 prévu le 16 novembre prochain pour dit-il mettre fin aux plans démoniaques des ennemis du Gabon.
« Lorsqu’ils vont entendre que 100% des gabonais ont dit oui à cette constitution, ils seront découragés dans leurs petits plans diaboliques, ils vont se dire le peuple est derrière cette transition et cette constitution », a fait observer à l’assistance M. Nguema Nguema, appelant par la suite le peuple à voter massivement en faveur.
Pour l’honorable député, les partisans du « non » à la nouvelle constitution sont des véritables ennemis du Gabon qu’ils « veulent déstabiliser ». Aucun gabonais n’a été exclu dans cette constitution élaborée selon les aspirations du peuple, contrairement à ce qui est distillé, soutien-t-il.
Ce choix serait selon lui l’élément déclencheur pour faire rentrer le Gabon dans une nouvelle ère en ce sens, que la future Constitution va renforcer et prôner une République basée sur des institutions purement fortes. Dans sa communication le parlementaire a de ce fait félicité et encourageé la bravoure du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) sous la gouvernance du général Brice Clotaire Oligui Nguema.
L’homme politique n’a pas manqué de faire comprendre à l’assistance que la vie des gabonais n’aurait pas été la même si le 30 août 2023 des hommes braves qui sont les militaires n’avaient pas fait le coup d’état qu’on a appelé « coup de la libération qui a ému et ravi les cœurs de la population gabonaise » . Sous le slogan « j’ai accepté le 30 août 2023, je valide ma constitution en 2024 », c’est sur ces paroles que l’honorable a mis fin à son allocution lançant un appel à l’unité nationale en faveur d’une nouvelle constitution dont il a pris part lors de l’assemblée constituante.
Tryphène Lembah et Antoine Relaxe
